Routines quotidiennes … pour un français.


Comment j’ai simplifié mon quotidien avec 3 routines légères (et zéro discipline)

Pendant longtemps, j’ai cru que pour “bien vivre”, il fallait suivre des routines parfaites : miracle morning, habitudes millimétrées, to-do list impeccable… Comme dans les bullet journal magnifiques que l’on voit sur le net.


Et pourtant, un matin, en regardant mon propre bullet journal rempli de pages vides, j’ai compris une chose : ce n’est pas la motivation qui me manquait, c’est la simplicité.

Dans la vraie vie, entre le travail, la fatigue, les imprévus et l’envie d’avoir un peu de paix, ces routines “idéales” finissent souvent par s’écrouler. Et la culpabilité s’installe.

J’en avais assez de me sentir en échec parce que je n’arrivais pas à suivre des méthodes trop strictes. Alors j’ai fait le choix inverse : au lieu de viser la discipline, j’ai visé la simplicité. Le bullet minimaliste.


Et c’est là que tout a changé.

Voici les 3 routines ultra-légères qui ont réellement transformé mon quotidien — sans culpabilité, sans rigidité, et surtout… sans effort.


✨ 1. La “Pause Reset 3 minutes”

(Le petit geste qui remet tout en ordre)

C’est la routine la plus courte que j’aie jamais essayée, et pourtant l’une des plus efficaces pour réduire la charge mentale et retrouver un peu de calme intérieur à n’importe quel moment de la journée.

En 3 minutes, montre en main, je fais :

  1. Je range trois objets qui traînent.
  2. Je m’assois et respire lentement pendant une minute.
  3. Je prépare une action simple (exemples : remplir un verre d’eau, une tasse d’eau tiède ou une tasse de thé, ouvrir mon bullet journal à la dernière page, poser devant moi stylos et feuille de dessin ou page blanche).

Et c’est tout.

Pourquoi ça marche ?

Parce que ce mini-rituel donne l’impression de reprendre la main. Il ne règle pas tout… mais il débloque quelque chose.
Il crée un élan, un mouvement intérieur, sans demander d’énergie ou de volonté.

Avec le temps, j’ai remarqué que ces resets accumulés changeaient vraiment l’ambiance de mes journées : moins de dispersion, plus de fluidité. J’ai augmenté mon temps de respiration à 5 minutes par exemple ou je prépare un matcha pour ma femme et moi en prenant mon temps ( une sorte de cérémonie du thé personnelle en pleine conscience).

Mon astuce KelXP

J’allume une bougie. C’est devenu un signal automatique : mon cerveau comprend que c’est “le moment de souffler”. Tu peux aussi mettre une petite playlist chill ou zen si c’est ton truc.


✨ 2. Le “Bloc Créatif Libre 10 minutes”

(L’espace où tout peut exister)

Je voulais écrire plus, dessiner plus, créer plus… mais dès que je me fixais un objectif, la pression montait.
Un jour, j’ai testé quelque chose de plus doux : 10 minutes de création sans but, sans filtre, sans objectif.

Le principe est simple :

  • J’ouvre mon bullet ou je sors une feuille noire ou blanche et quelques stylos.
  • Je note, je gribouille, j’écris, je réfléchis…
  • Rien n’a besoin d’être beau, utile ou cohérent.
  • Au bout de 10 minutes, j’arrête — même si je suis lancé.

Pourquoi c’est devenu essentiel

Parce que ces 10 minutes débloquent la créativité sans pression.
Elles réveillent doucement l’esprit et permettent de renouer avec l’envie de créer.

Et le plus surprenant : en un mois, j’ai récolté une quantité incroyable d’idées, de débuts de projets, de pensées intéressantes, de chouettes dessins. C’est devenu une source de bien-être quotidien.

Mon astuce KelXP

J’ai créé une page “mines d’or” où je dépose les meilleures idées ou les petits dessins réussis.
C’est devenu mon petit trésor personnel, et une ressource fabuleuse quand j’ai besoin d’inspiration.


✨ 3. Le “Micro-bilan 20 secondes du soir”

(La version ultra-light du bullet journal)

J’ai essayé les journaux de gratitude, les longues pages thérapeutiques… Mais le soir, je n’ai pas toujours l’énergie.
Alors j’ai réduit l’exercice à l’essentiel : 20 secondes pour clarifier ma journée et apaiser l’esprit.

Je me pose une toute petite minute et je réponds mentalement à trois questions simples :

  • Qu’ai-je fait aujourd’hui ? (Quelque chose, même minuscule).
  • Qu’est-ce que je peux laisser tomber ? (Un souci inutile, une attente, une micro-tension).
  • Qu’aimerais-je faire demain ? (Une seule chose simple et atteignable).

Pourquoi ça fonctionne

Parce que ce mini-bilan calme la charge mentale avant de dormir.
Il met de l’ordre dans le chaos, sans tomber dans la lourdeur des journaux détaillés.
Et il donne un cap pour le lendemain, sans pression.

Mon astuce KelXP

Je le fais au moment où je pose mon téléphone et le mets en charge.
Ce geste sert de déclencheur naturel.
Pas besoin de créer une nouvelle page : on peut noter une de ces réponses directement sur la page mensuelle, à la ligne du jour. Un mot seulement suffit parfois.


🌿 Conclusion : et si la douceur était plus puissante que la discipline ?

J’ai longtemps cru que les grandes routines faisaient les grandes vies.
Aujourd’hui, je pense exactement l’inverse.

Ce qui change vraiment le quotidien, ce sont ces petits gestes réalistes, qu’on peut faire même fatigué, même distrait, même imparfait.
Ils ne créent pas une vie parfaite, mais une vie plus respirable.

La discipline n’est pas toujours la clé. Parfois, c’est la simplicité qui ouvre la bonne porte.


👉 Et toi ?

Quelle petite routine légère pourrais-tu commencer dès aujourd’hui pour t’offrir un peu d’élan et de douceur ?


Zentangle et Line Art : Relaxation et Créativité… pour un Français

Vous avez envie d’explorer une activité artistique qui allie détente et créativité ? Entre le Zentangle et le Line Art fluide, ces deux pratiques simples et accessibles permettent de s’évader et de se recentrer. Dans cet article, découvrez comment commencer et profiter de ces deux approches uniques, adaptées à tous.

Pratiquer le Zentangle ou le Line Art fluide… pour un Français

Vous avez envie d’explorer une activité artistique qui allie détente et créativité ? Entre le Zentangle et le Line Art fluide, ces deux pratiques simples et accessibles permettent de s’évader et de se recentrer.


Qu’est-ce que le Zentangle ?

Le Zentangle est une méthode artistique méditative créée pour se détendre et se reconnecter à soi-même. Elle repose sur la répétition de motifs abstraits dans des zones délimitées. Pas besoin de savoir dessiner, tout le monde peut s’y essayer !

Comment pratiquer ?

  1. Prenez une feuille carrée, un crayon et un feutre noir.
  2. Divisez la feuille en zones (courbes ou droites).
  3. Remplissez chaque zone avec des motifs simples comme des lignes, des spirales, ou des zigzags.
  4. Profitez du moment : il n’y a ni erreur, ni perfection.

Pourquoi essayer ?

  • Relaxation immédiate : Parfait pour calmer le mental.
  • Créativité accessible : Pas de pression sur le résultat final.
  • Activité ludique : Idéal pour petits et grands.

Qu’est-ce que le Line Art fluide ?

Le Line Art fluide (illustré par l’exemple ci-dessous) met l’accent sur des lignes élégantes et dynamiques qui donnent du mouvement à vos dessins. Contrairement au Zentangle, cette approche privilégie une esthétique minimaliste et épurée. Les lignes s’entrelacent ou se superposent, formant un flux visuel apaisant.

Comment commencer ?

  1. Choisissez un sujet abstrait ou un mouvement (comme dans l’exemple).
  2. Dessinez des lignes fluides et répétitives en jouant sur leur épaisseur.
  3. Travaillez la continuité et la fluidité des courbes, sans lever le crayon si possible.
  4. Jouez avec le noir et blanc pour renforcer le contraste.

Pourquoi pratiquer ?

  • Esthétique moderne : Les œuvres finales sont souvent très élégantes.
  • Expression libre : Vous pouvez expérimenter avec des motifs abstraits ou des formes simples.
  • Apaisement : Travailler sur des lignes continues aide à se recentrer et à trouver son calme.


Zentangle ou Line Art fluide : Quelle différence ?

ZentangleLine Art fluide
Basé sur des motifs répétitifsLignes continues et organiques
Idéal pour méditerParfait pour l’expression artistique
Accessible aux débutantsDemande un peu plus de précision, cela vient en pratiquant.

Quelques conseils pour débuter

  • Pour le Zentangle : Commencez avec des motifs simples et laissez-vous guider par votre inspiration. Ne cherchez pas la perfection.
  • Pour le Line Art fluide : Inspirez-vous de formes naturelles comme des vagues ou des feuilles pour vos premières lignes. Travaillez doucement pour garder la fluidité.

Combinez les deux pour un effet unique

Pourquoi ne pas mélanger les deux approches ? Vous pouvez dessiner une base en Line Art fluide pour définir un mouvement, puis ajouter des motifs Zentangle pour remplir certaines zones. Cela crée des œuvres originales qui mêlent précision et spontanéité.


Conclusion

Que vous choisissiez de pratiquer le Zentangle ou le Line Art fluide, ces deux techniques artistiques sont parfaites pour s’offrir un moment de détente et de créativité. Avec un peu de matériel et beaucoup de curiosité, vous pouvez transformer une simple feuille blanche en une œuvre unique.

Alors, prêt(e) à essayer ? Prenez un crayon et lancez-vous dès maintenant !


Le couteau pliant … Pour un(e) français(e)

Le couteau pliant, ou de poche, est un accessoire, un outil, un objet pratique qu’un français avait l’habitude, jusqu’à récemment, d’avoir sur lui dans le milieu principalement rural.

Pour ma part, j’ai eu la chance de connaître mon arrière-grand-père; Il en avait un sur lui en permanence. J’ai d’ailleurs eu mon premier couteau, un laguiole, à 16 ans. À une certaine époque, c’était un moyen de marquer le coup, un rituel pour le passage à l’âge adulte.

Loin de moi l’idée de faire l’apologie du couteau par le biais de cet article, il faut savoir que la loi française est claire au sujet du port d’un couteau : c’est une arme de catégorie D.  Qu’elle soit en vente libre ou non, elle ne peut être ni portée ni transportée sans motif légitime. Sur le site knivesandtools, c’est bien expliqué et détaillé.

J’utilise tous les jours, pour ma part, un couteau »L4Aude » SALVA créé en 2012. Un joli capucin, tout simple et sans prétention. Comme l’appareil photo de mon téléphone ne fonctionne plus, j’utilise une image du site Le Coutographe pour le montrer.

Couteau salva 01

C’est un couteau sans cran d’arrêt, « un capucin ». Le manche du mien est en nerprun. AU début je me coupais régulièrement les doigts tellement il faut s’habituer à son ouverture et fermeture « primitive ». L’avantage est que l’on apprend vite à faire attention ! Je l’adore.

Il me sert tous les jours pour manger, pour bricoler et couper tout et n’importe quoi. Toutes les occasions sont bonnes pour s’en servir.

J’ai fait la connaissance avec la famille Leblond qui vendait ce couteau sur le marché d’Espéraza, une très bonne occasion de discuter avec des passionnés.

Ce type de couteau était pratique pour les bergers romains pour tailler les onglets des moutons sous la Rome Antique.

Je le répète toutefois, ce n’est pas un couteau à cran d’arrêt donc il faut être prudent pour ne pas se couper constamment. Mais je préviens, l’essayer, c’est l’adopter !!! Il trouve facilement sa place dans une pochette de mon mon sac en bandoulière.

 

La Liseuse numérique … Pour un bibliophile.

Liseuse Kobo 01

Tout d’abord, je pense qu’il est utile de vous préciser que j’aime lire; Avoir un livre entre les mains est pour moi un plaisir. L’odeur des pages, la sensation du papier, la couverture rigide en cuir, etc … Toute une ambiance qui me plonge dans l’univers de l’auteur, qui me fait passer un moment de détente absolue.

Une liseuse est, par définition, et pour reprendre wikipedia, un appareil mobile conçu principalement pour lire des livres numériques.

Pour la petite histoire, il y a deux ans, mon beau frère sort un objet d’une poche que je pense être un téléphone portable. Je lui demande quelle est la marque et il me le tend en me disant que c’était sa liseuse. Surpris, je la prends en main et je lui trouve plein de défauts étant un fervent défenseur des livres papiers.

Quelques jours plus tard, je suis à la fnac, j’essaie la kobo H2O et je change d’avis.

En effet, je me rends compte de certaines similitudes entre les livres et les liseuses et cela me plait. La Kobo H2O, par exemple, propose un format proche d’un livre format A5. On a une bonne sensation surtout couplée avec un étui qui, dès qu’on le ferme, permet la mise en veille de l’appareil.

Liseuse Kobo 03

Comme vous pouvez le constater sur la photo ci-dessous , l’étui est bien abimé mais la liseuse est intacte, c’est pratique pour un utilisateur régulier et assez brusque comme moi !

Liseuse Kobo 02

Certes, elle est chère et encore vendue pour environ 170 euros. Cela dit, pour un grand consommateur de livres comme moi, qui lit entre deux et quatre livres par mois,  c’est rentable.

Il y a moins cher, mais le format est plus petit, il n’y a pas forcément le rétro-éclairage, bien pratique pour ne pas s’abimer la vue, et la durée d’une charge est inférieure à deux mois comparée à la kobo H2O dans son utilisation normale. En outre, il y a possibilité d’ajouter une carte SD de 32 giga aux 4 giga de l’appareil, ce qui permet d’avoir environ 38000 livres environ.

Sur la photo ci-dessous, j’ai rajouté ma carte SD et vous pouvez constater que je passe de 44 à 1948 livres.

Liseuse Kobo 04

 

Si on fait un petit calcul, à raison de 4 livres par moi, ça nous fait 48 bouquins par an. Même en arrondissant à 50 livres, sur 80 ans, cela donne 4000 œuvres à lire … C’est sans doute pourquoi la dernière édition de cette liseuse propose une mémoire non extensible de 8 giga, ce qui donne 7000 livres environ. C’est amplement suffisant.

 

Aujourd’hui, la liseuse numérique est un des objets que je trouve pratique. Si elle ne remplace pas les belles éditions de mes livres en papier reliés de cuir, elle me suit partout et tout le temps. Elle me permet notamment, en cette période de vacances d’été, d’embarquer ma dizaine de thrillers et d’œuvre de fantasy en ayant un gain de places et de poids considérable. Elle a une place de choix dans mon sac en bandoulière avec mon bullet journal.

Le sac en bandoulière … Pour un homme

Fatboy Maxpedition ... Pour un homme

Il y a deux ans, je partais en voyage au Pérou et il me fallait un sac à la fois compact, léger, solide et pratique. J’ai porté mon choix sur le Fatboy Versipack de Maxpedition.

Fatboy Maxpedition.jpg

Aujourd’hui, je l’utilise encore tous les jours, il n’est pas usé malgré un usage intensif et brutal de ma part.

Il est vraiment adapté aussi bien à une utilisation rurale qu’urbaine.

Il y a beaucoup de compartiments discrets, petits et grands. Personnellement, j’y mets en voyage mon livre numérique KOBO H2O, mon Bullet Journal, des stylos, mon téléphone, mes papiers et moyen de paiements divers, des cartes de la région, mon couteau de poche, une lampe de poche, etc …

Fatboy Maxpedition2

Quand je fais du Canoé Kayak l’été, je l’emmène sachant qu’il est imperméable surtout dans sa partie principale où je stocke le maximum d’objets papiers et électronique. L’an dernier, ma femme et moi nous sommes retournés et je l’avais gardé en bandoulière plutôt que dans le conteneur étanche. Aucun soucis, aucun dégâts à déplorer grâce à lui.

Il est un peu cher à l’achat aux alentours de 100 euros, mais c’est un investissement à longue durée. il est très résistant et volumineux ( 4 litres), j’y mets aussi mon mug de voyage de temps en temps. Son côté volumineux n’est pas dérangeant, de plus on peut le mettre autour de la taille, une sangle est prévue pour le tour de cuisse à cette occasion.

Fatboy Maxpedition 3

Il se décline en plusieurs couleurs, une douzaine sur le site de Maxpedition.

Petit plus non négligeable, je suis gaucher et ce sac est aussi fait pour nous !

Le Bullet Journal … Pour un homme.

bujoSur le net aujourd’hui, on parle assez régulièrement du phénomène Bujo. Étant curieux de nature, et voulant renouer également avec l’écriture, je me suis laissé tenter en juin 2016, voici mon expérience :

Qu’est-ce qu’un Bullet Journal ?

C’est un système d’organisation tout-en-un.

Pour reprendre son créateur Ryder Caroll, « c’est un système analogique pour l’ère numérique”.

Pour les pratiquant de l’anglais, voici une vidéo où il présente son Bujo :

En français, c’est un carnet qui permet de réunir un agenda, un journal intime, un pense-bête, vos idées, vos pensées, vos projets, vos tâches, vos souvenirs de vacances, etc … Vous pouvez y mettre tout ce que vous trouverez utile, important ou futile.

L’avantage est qu’il soit entièrement personnalisable, à votre image.

Avant de le commencer, il est tout de même important de connaître la base afin de s’y retrouver et de comprendre son système. Ensuite, le choix vous est donné de faire simple et minimaliste ou bien de laisser parler votre créativité et de le remplir de dessins, de graphismes en tout genre …

Principes de base :

Bujo1

Tout d’abord, il vous faut un carnet que vous pouvez facilement transporter sur vous en toutes occasions et un stylo.

Personnellement j’ai choisi un leuchtturm1917 optimisé pour le bullet journal cette année, les pages y sont déjà numérotées et il y a un index intégré. L’année dernière j’avais un carnet moleskine.

Pour le stylo, j’utilise un Pentel Tradio Pulaman qui me plait pas mal en ce moment, je le trouve de bonne qualité. Mais là, toujours pareil, le stylo que vous utilisez pour tous les jours suffit.

Ensuite passons au contenu :

L’Index :

indexbujo

Au tout début du bujo, il vous faut un index pour noter et répertorier toutes les pages. Sur les deux ou trois premières pages, on y liste le contenu en inscrivant le numéro et le titre. Si votre carnet n’est pas numéroté, vous devez le faire et vous vous y retrouverez facilement grâce à cet index.

Il est normal qu’au départ votre index soit vide, vous constaterez à force qu’il se remplit facilement et rapidement.

Comme vous le constatez sur mon index, il n’y a pas de pages vides dans un Bujo, chaque page sert à quelque chose.

Les Clés ( la légende):

clésbujo

Après l’index on trouve généralement les clés. On utilise celles-ci pour différencier les différentes activités d’une journée.

Les clés de bases sont :

  • Les tâches ( exemple : aller à la poste, au pressing, etc …) sont des cases à cocher.
  • Les événements ( exemple : anniversaire, naissance, etc …) sont des ronds creux.
  • Les notes ( exemple : citation, référence, nom d’un restaurant, etc …) sont des traits.

Vous y ajouter ce que vous souhaitez du moment que vous respectez les clés pour, toujours pareil, vous y retrouver.

Personnellement, j’ai différencié les événements des rendez-vous mais vous pouvez les regrouper, tout est permis.

Le calendrier annuel (Future Log) :

annuelbujo

Pour commencer les choses sérieuses et entrer dans le vif du sujet, on trouve les calendriers. Celui-ci permet d’avoir une vue d’ensemble de l’année. On y  consacre deux à quatre pages pour y inscrire les rendez-vous, événements, tâches que l’on connait à l’avance sur une année, les choses importantes à ne pas oublier comme les anniversaires par exemple.

Pour ma part, je préfère pour le moment partager l’année en deux pages de six mois.

Le calendrier mensuel (Monthly Log) :

mensuelbujoDisposé sur une double page, il permet d’avoir une vue d’ensemble du mois. On le crée à chaque début de mois. Il vous permet de reporter les tâches non effectuées du mois précédent, celles du mois en cours et celles du calendrier annuel.

Sur la page de gauche on note les dates et on leur attribue les jours de semaine. Sur celle de droite les tâches à effectuer qui ne sont pas encore datées.

Je teste pas mal de forme de calendriers mensuels mais celui-ci reste le plus simple et pratique.

Les entrées quotidiennes ( Daily log):

hebdobujoSelon son choix, on peut consacrer une page par jour ou une pour plusieurs. On y inscrit la date du jour et on y reporte les tâches, événements et notes avec les cases, ronds ou traits devant. On se réfère au calendrier annuel et mensuel pour le remplir et, également, dès que l’on a une nouvelle chose à faire.

A chaque fois que c’est effectué, reporté ou annulé, on le remplit comme indiqué sur la page des clés.

Le soir venu, on inscrit à la suite ou à la page suivante la date du  lendemain et on y reporte les tâches, événements et notes comme précédemment. Cela prend moins de 5 minutes et c’est, je dois l’avouer, ultra efficace pour ne rien oublier.

Les Options :

Après les principes de base, vous pouvez noter dans votre Bujo ce que bon vous semble, voici quelques exemples :

Les Collections : Les livres à lire, les séries à voir, les recettes de cuisine à tester, etc …

Les Liste : de souhaits (wishlists), de courses, d’idées etc …

Les Suivis ( trackers) : tableaux graphiques ou non des différentes activités que vous pratiquez, des habitudes que vous avez.

Les Dessins, doodles, zentangles, etc …

Conclusion :

Cela fait un an maintenant que j’utilise ce système par curiosité et je ne m’en lasse pas.

Le gros avantage est la personnalisation à votre image d’un système d’organisation tout-en-un optimal. Le démarrage peut être difficile mais, en piochant et en testant ce que partagent les internautes de leur Bujo, on s’en sort à merveille, on adapte, trouve et adopte son propre système.