Le couteau pliant, ou de poche, est un accessoire, un outil, un objet pratique qu’un français avait l’habitude, jusqu’à récemment, d’avoir sur lui dans le milieu principalement rural.
Pour ma part, j’ai eu la chance de connaître mon arrière-grand-père; Il en avait un sur lui en permanence. J’ai d’ailleurs eu mon premier couteau, un laguiole, à 16 ans. À une certaine époque, c’était un moyen de marquer le coup, un rituel pour le passage à l’âge adulte.
Loin de moi l’idée de faire l’apologie du couteau par le biais de cet article, il faut savoir que la loi française est claire au sujet du port d’un couteau : c’est une arme de catégorie D. Qu’elle soit en vente libre ou non, elle ne peut être ni portée ni transportée sans motif légitime. Sur le site knivesandtools, c’est bien expliqué et détaillé.
J’utilise tous les jours, pour ma part, un couteau »L4Aude » SALVA créé en 2012. Un joli capucin, tout simple et sans prétention. Comme l’appareil photo de mon téléphone ne fonctionne plus, j’utilise une image du site Le Coutographe pour le montrer.

C’est un couteau sans cran d’arrêt, « un capucin ». Le manche du mien est en nerprun. AU début je me coupais régulièrement les doigts tellement il faut s’habituer à son ouverture et fermeture « primitive ». L’avantage est que l’on apprend vite à faire attention ! Je l’adore.
Il me sert tous les jours pour manger, pour bricoler et couper tout et n’importe quoi. Toutes les occasions sont bonnes pour s’en servir.
J’ai fait la connaissance avec la famille Leblond qui vendait ce couteau sur le marché d’Espéraza, une très bonne occasion de discuter avec des passionnés.
Ce type de couteau était pratique pour les bergers romains pour tailler les onglets des moutons sous la Rome Antique.
Je le répète toutefois, ce n’est pas un couteau à cran d’arrêt donc il faut être prudent pour ne pas se couper constamment. Mais je préviens, l’essayer, c’est l’adopter !!! Il trouve facilement sa place dans une pochette de mon mon sac en bandoulière.








